La réponse du grand public est positive. De plus en plus de communautés locales s’impliquent dans le projet, en participant financièrement, ou en popularisant le projet. Le projet Viva Yasuni créé en coopération avec le conseil régional de la Meurthe et Moselle en est un exemple typique. Les contributions des particuliers devraient également décoller, puisque le projet a récemment obtenu une dérogation en matière de taxes, ce qui permet de faire des dons d’une valeur importante.
Sensibiliser les États est bien entendu plus difficile, et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord, le projet est unique en son genre et les États n’ont aucune garantie de sa viabilité. Ensuite, certains doutent de l’engagement de l’Équateur sur le long terme. Toutefois, de plus en plus d’États contribuent au projet, ou font des promesses de dons. L’Australie, la Géorgie, la Turquie et la Russie en sont des exemples récents.