Quantification de la controverse

La recherche de ce mot restreint la controverse à la France car il s'agit d'un terme francophone. La répartition géographique des recherches en témoigne. Néanmoins, cela permet de voir l'intérêt de l'opinion publique pour ce sujet. On remarque que la fréquence de recherche du terme DEEE semble stable sauf fin 2006 où on observe un pic. Les recherches sont plus de deux fois plus élèvées que d'habitude. Ce pic correspond au vote de la loi rendant obligatoire le traitement des DEEE financé par une éco-taxe.

Cette recherche permet d'identifier si la controverse intéresse toujours l'opinion publique ou si celui-ci s'en lasse. La première recherche nous permet d'évaluer l'intérêt du sujet auprès dans les ays anglophones (Etats-Unis, Angleterre, Australie...). On remarque que la fréquence des recherche diminue régulièrement depuis 2005, le sujet intéresse de moins en moins. Les recherches ont été diminuées par cinq depuis 2005. Ainsi, bien qu'aucune solution n'a réellement été trouvé depuis 2005 et que la situation a seulement peu changé, le public n'est plus intéressé par ce sujet qu'il trouve redondant et sans nouveautés. Pourtant, la seconde recherche donne un résultat bien différent. En effet, le sujet est arrivé plus tardivement dans la sphère publique. Malgré une évolution des recherches très variable, en moyenne l'intérêt de l'opinion publique s'essoufle aussi mais dans une moindre mesure. Ainsi, les pays francophone (Canada, France...) ont pris conscience du problème lié au recyclage des ordinateurs plus tardivement et donc l'opinion n'est pas encore las de cette thématique, contrairement à ce qu'on observe dans les pays anglophones.





Une autre information est à tirer de cette recherche. Lorsqu'on observe la répartition géographique des recherches concernant "computer recycling", ce sont les pays développés qui témoignent d'un plus grand intérêt envers cette controverse que les pays en développemet. Cela signifie que les pays producteur de ces déchets appelés DEEE sont plus soucieux du devenir du matériel high tech que les pays comme l'Inde qui reçoivent souvent ces déchets. Ces pays n'ont peut-être pas encore conscience des problèmes environnementaux que ces déchets peuvent provoquer.



Pour se rendre compte de l'importance des DEEE en Inde on peut restreindre a précédente recherche à l'Inde (qui est un des principaux pays recevant des DEEE à traiter de la part des pays développés). Dans ce cas, la recherche de "computer recycling" restreinte à l'Inde montre que le sujet à commencé à intéressé l'opinion pulique en 2011 seulement. Cela montre bien que les indiens n'était pas réellement conscient du problème lié aux DEEE jusqu'à il y a deux ans (soit pas ignorance, soit par désintérêt). Ce désintérêt de l'opinion publique permet aux sociétés qui doivent (comme cela est inscrit dans la loi française depuis 2006) traiter les déchets électroniques d'envoyer ces derniers dans des pays comme l'Inde où les autorités sont souvent peu regardantes quant aux respect de l'environnement.