La cartographie est plus complète, mais aussi un peu plus confuse et plus polluée. La hiérarchie a aussi un peu changé. Certains acteurs qui avaient été oubliés dans la cartographie précédente refont leur apparition : le médiateur de l'énergie, le ministère de l'énergie et du développement durable, le ministère de l'industrie. Un pôle politique se constitue en haut à droite : l'assemblée nationale, le sénat, le ministère de l'énergie, et par conséquent un nombre très important (545) de liens pointant vers legifrance.gouv.fr qui répertorie les textes legislatifs. La CRE, ErdF et RTE occupent toujours des positions clef mais avec peu de liens supplémentaires, alors qu'un véritable pôle EDF se dessine en bas avec 1200 vers edf.fr alors qu'il restait assez discret dans la cartographie précédente. Ceci s'explique par le fait que EDF utilise un nombre très important de noms de domaines (environ une douzaine) ce qui a provoqué un effet d'échos assez manifeste avec une itération supplémentaire.
Les cartographies avec des acteurs de portée plus large géographiquement ont été beaucoup moins concluantes car toujours éclatées avec des organisations équivalentes dans chaque pays européen et aucune analyse pertinente n'en a été tiré.