chercheurs

         Ils développent des logiciels pour protéger les réseaux sociaux et leurs utilisateurs. Ils cherchent des solutions à un niveau plus fondamental que les sociétés de protections et ont un intérêt financier moins important car ils travaillent la plupart du temps pour des structures à but non lucratif comme les universités.

 

Par exemple, Doctor Wang du Georgia Institute of Technilogy, dans un article de 2010 intitulé A social spam detection framework, donne les grandes lignes d’un logiciel de protection des réseaux sociaux. La particularité de cette solution est qu’elle propose un logiciel mettant en collaboration les différents réseaux sociaux, afin d’augmenter la rapidité de réaction et la précision de la détection.

 

Le spam social fait même l’objet de thèses scientifiques comme celle écrite par Steve Webb, lui aussi docteur au Georgia Institute of Technology, en 2008, s’intitulant Automatic Identification and Removal of Low Quality Online Information. Il y décrit une solution assez répandue qui consiste à utiliser des « social honeypots ». Ces faux profils servent à attirer les spams, ce qui permet d’identifier les profils émetteurs afin de pouvoir ensuite les combattre. Steve Webb choisit donc de revoir les techniques d’analyse précédente et de les améliorer.

 

  

“For social networking communities, this spamming activity represents a huge problem (...) spam content wastes a significant amount of resources, including storage space, bandwidth, and users’ time. (...) spammers are also able to use the information on user profiles to more effectively spam users outside the community.”

Automatic Identification and Removal of Low Quality Online Information

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