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Le schéma ci-dessous est une cartographie simplifiée des acteurs intervenant dans cette controverse. Chaque image correspond à un type d’acteurs particulier, et on ne s’intéresse pas ici aux relations entre les différents acteurs du même type.
Toutes les images sont cliquables, ce qui permet d’afficher un court résumé renvoyant vers des pages du site plus conséquentes.
Les scientifiques sont regroupés dans des organismes de recherche, notamment l’IFREMER pour la France. Ils conseillent la Commission Européenne dans sa fixation des quotas. L’organisme tampon entre les scientifiques et la Commission est l’ACOM.
En savoir plus sur l’IFREMER, l’ACOM et les autres principaux organismes scientifiques
Il en existe de très nombreuses. Nous nous sommes concentrés sur celles auxquelles nous faisons allusion dans le site, à savoir:
Les pêcheurs appartiennent souvent à des organisations de producteurs qui gèrent la répartition des quotas entre pêcheurs et le respect des niveaux de TAC fixés.
En savoir plus sur les principaux organes représentatifs des pêcheurs
Les poissons sont les premiers acteurs de cette controverse: sans poisson, pas de quota ; et sans quota, pas de controverse. C’est pour répondre à la baisse drastique des niveaux des stocks de poissons observée depuis des dizaines d’années que les quotas sont nés.
Les consommateurs sont eux aussi des acteurs à part entière dans cette controverse. Sans leur demande toujours croissante en poisson, la pression sur les stocks serait bien moins importante et bien moins d’espèces seraient menacées de disparition.
En savoir plus sur la place centrale du consommateur dans cette controverse
Les industriels de la filière poisson transforment le produit brut, le poisson ramené au port, en produit final, offert à la vente. Cet échelon de la filière poisson est primordial, et comme il repose intégralement sur la pêche, de fortes pressions sont exercées par de gros groupes industriels à Bruxelles…
En savoir plus sur la transformation des produits de la pêche
En France, c’est le ministère de la pêche qui gère les activités liées à la pêche et veille à respecter les quotas imposés au niveau européen. Différents organes au sein de ce ministère sont en charge des différents aspects de la gestion de la pêche.
C’est au niveau européen, au Conseil des Ministres à Bruxelles, que sont votés les quotas avant d’être répartis entre les pays-membres.
En savoir plus sur les institutions européennes intervenant dans la fixation des quotas