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" Ne faut-il pas
admettre que, dans les pays industrialisés, les ingestas sodés
sont excessifs ? Par exemple, 40 g/jour au Japon ?
Voilà un bon exemple. Au Japon, les services sanitaires ont enregistré
une diminution des ingesta sodés qui sont en moyenne de 12 g/jour
(13,5 g/jour, il y a 20 ans). Des doutes ont été émis
récemment sur les modalités de collecte de certaines statistiques.
Cette ration de 40 g/jour ne concernait qu'une population de pêcheurs
de Hondo et elle intégrait largement le sel utilisé pour
la conservation du poisson.
Le goût des polémiques pousse à opposer les extrêmes.
Théoriquement les besoins physiologiques sont satisfaits à
raison de 2 g/jour. Mais un tel régime, le régime hyposodé
auquel Kempner avait soumis certains de ses malades, n'est supportable
sous contrôle médical que pour une faible durée
Une étude chinoise a conclu que 21 g/jour était une ration
acceptable
En France, les ingesta sodés se situent en moyenne entre 7 et 8
g/jour.
" Ne faut-il pas admettre que, dans les pays industrialisés,
les ingestas sodés sont excessifs ? Par exemple, 40 g/jour au Japon
?
Voilà un bon exemple. Au Japon, les services sanitaires ont enregistré
une diminution des ingesta sodés qui sont en moyenne de 12 g/jour
(13,5 g/jour, il y a 20 ans). Des doutes ont été émis
récemment sur les modalités de collecte de certaines statistiques.
Cette ration de 40 g/jour ne concernait qu'une population de pêcheurs
de Hondo et elle intégrait largement le sel utilisé pour
la conservation du poisson.
Le goût des polémiques pousse à opposer les extrêmes.
Théoriquement les besoins physiologiques sont satisfaits à
raison de 2 g/jour. Mais un tel régime, le régime hyposodé
auquel Kempner avait soumis certains de ses malades, n'est supportable
sous contrôle médical que pour une faible durée
Une étude chinoise a conclu que 21 g/jour était une ration
acceptable
En France, les ingesta sodés se situent en moyenne entre 7 et 8
g/jour.
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