La British Electric et le National Grid (réseau anglais)
Electrabel
ERGEG (Autorité de régulation de l’énergie)
D. M. Newbery, professeur d'économie au Churchill College, Cambridge, Royaume-Uni
Global Energy
Commission européenne
IEFE, centre pour la recherche en énergie et environnement
Center for European Policy
Francois Lévêque, professeur de droit et d'économie
Stephen Littlechild, chercheur en privatisation, régulation et concurrence à l'Université de Cambridge, Royaume-Uni
Michel Pollitt, directeur assistant de l'ESRC (Economic and Social Research Council)
Tooraj Jamasb, économiste à l'Université de Cambridge, Royaume-Uni
Paul Nillesen, IFC Consulting
Hattori Toru, chercheur au Central Research Institute of the Electric Power Industry, Japon
Roger Noll, économiste à l'Université de Standford, USA
Richard Green,directeur de l'Institut pour la Recherche et la Politique Energétiques à l'Université de Birmingham, Royaume-Uni
John E. Kwoka Jr., économiste à la Northeastern University, Boston, USA (
Le principal argument des partisans du dégroupage est la baisse des prix, supposée par plusieurs économistes.
De plus, la sécurité de la production et de l'approvisionnement rique d'être mise à mal.
Contre le dégroupage tel que proposé par la Comission Européenne
Deux membres du service de Stratégie d'EDF
RTE
CATO , fondation pro-libérale américaine
Sustainable Energy Specific Assessment Federation
Karine Chakir, journaliste économiste
Dominique Finon, chercheur au CNRS, Paris
La France et l'Allemagne
George Yarrow, directeur d'un régulateur basé à Oxford, Royaume-Uni
L'argument de réduction du coût de l'électricité est très contreversé puisque plusieurs acteurs comme George Yarrow, Dominique Finon ou les CATOs sont contre le dégroupage
parce qu'ils pensent que cela fera augmenter les prix. De plus, un autre argument important est la sécurité de la production qui pourrait poser problème.