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Comme nous venons de le voir grâce à l’analyse de l’étude d’impact de Mustafa, une étude d’impact (IA) fait des choix pour établir un raisonnement cohérent. Ces choix peuvent être justifiés par des arguments ou bien arbitraires, dissimulés ou bien clairement établis. Dans tous les cas, ils sont sujets à de vives critiques de la part d’économistes défendant une autre conception de ce qu’est une « bonne » preuve.

Pourquoi ce point constitue-t-il un élément important de la controverse ? Parce que le problème posé est complexe : contrairement à l’évaluation financière d’une IMF, qui est facile car elle emprunte les concepts de la comptabilité et de l’économie de l’entreprise, l’évaluation de l’impact d’un programme de microfinance sur les populations est plus difficilement quantifiable.

Nous avons analysé en détail une conception parmi d’autres avec l’étude Beacon of Hope ; nous allons maintenant cartographier le débat académique autour de la question en détaillant les divers nœuds du débat.

  

Nous allons commencer par un problème récurrent : l’identité du commanditaire de l’étude.


  

Nous allons tout d'abord passer en revue les différents points de débat entre économistes :



 



 





Ensuite, nous verrons que trois grandes conceptions de la preuve se dégagent :





 



 



 



 

  

Question de la preuve : les points de débat entre les économistes

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