Des moyens devraient donc être fournis pour celles-ci. M. Lambert regrette que ce ne soit pas le cas. Cela devrait être le rôle de l’ANSM, qui n’a pas été rempli, car il s’agit bien d’un problème de santé publique. Il déplore que le sujet n’ait pas été pris au sérieux, alors qu’il faudrait faire des études sans perdre de temps. Ainsi, aucune étude n’a permis de recenser avec précision le nombre de cas (200 000 supposés), alors qu’E3M aurait pu collaborer : son but est de faire progresser la recherche ; elle a ainsi aidé au financement de certaines études de Romain Gherardi.
Au sujet de l’utilisation d’autres adjuvants comme le phosphate de calcium, il regrette qu’il n’y ait pas eu d’autres études. Rien ne prouve pour l’instant que ce ne soit pas une alternative intéressante. Des recherches auraient déjà dues être menées il y a 10 ans; il dénonce le fait que personne ne prend l’initiative d’agir, et il est ainsi impossible d’avoir des solutions acceptables.