Nous nous sommes intéressés à un univers très riche. Nous avons d’abord tenté de faire un tour d’horizon des sites Internet en français ou en anglais sur le sujet. Il est très vite apparu qu’il était impossible de tout lire et qu’il fallait cibler les recherches en sélectionnant quelques sites représentatifs de la controverse et prenant en compte tous les points de vue sur la question. Vous retrouverez bien sur les liens correspondants dans notre bibliographie (lien vers la bibliographie). Nous avons évité de nous limiter à de la littérature française car la France n’est absolument pas représentative dans le domaine énergétique à cause de l’importance de l’énergie nucléaire.

Cette pléthore d’informations est d’ailleurs peut-être plus un handicap qu’un atout pour l’analyse de cette controverse : difficile de percevoir clairement les tenants et les aboutissants du débat dans une telle masse d’informations. De plus, les informations facilement accessibles se ressemblent beaucoup…

Il est beaucoup plus difficile d’avoir accès à des informations plus pertinentes et moins consensuelles dans un univers où règne malgré tout une loi du silence.

Il nous a fallu forer nous aussi pour découvrir le gisement….

Nous avons également rencontré de nombreux acteurs de la controverse pour mieux d’appréhender les subtilités du débat. Nos pas nous ont menés :

• Jusqu’à Total, à la Défense, pour rencontrer Xavier Préel, Vice Président Business Strategy, France Exploration & Production du Groupe Total.
• Chez Pierre Maintier, foreur maintenant à la retraite.
• Au salon de la recherche et de l’innovation pour assister à une conférence ayant pour thème : le pétrole a-t-il un avenir ?
• A l’Assemblée Nationale, pour y rencontrer Yves Cochet, député vert de Paris ayant publié un livre intitulé « Pétrole apocalypse »
• Jusqu’à Jean Laherrère, fondateur de l’ASPO avec Colin Campbell

Suite de la visite : entrer dans la couche géologique