Les institutions gouvernementales
Rôle dans la controverse :
Les institutions qui rentrent dans cette controverse sont de deux types. Tout d’abord nous avons les institutions politiques (Sénat, Assemblée nationale, Ministère de la Santé…) qui éditent les lois et les plans concernant le dépistage organisé du cancer du sein (tels que le plan cancer II), et qui représentent la position de la république sur la question du dépistage. Elles travaillent en collaboration avec les institutions de santé, comme la Haute Autorité de Santé (HAS), l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) ou l’Institut National du Cancer (INCa). Ces dernières travaillent sur l’organisation du dépistage (mettent en place un cahier des charges), l’étude des résultats (dans des rapports publics), font la promotion de la recherche…
Position dans la controverse :
Tous les textes de plans cancer maintiennent le dépistage organisé du cancer du sein pour les femmes de plus de 50 ans. Même si elles sont conscientes de certains revers de ce type de dépistage, elles sont globalement (plus ou moins fortement, qu’il s’agisse de l’INCa ou de la HAS…) en faveur.