La cartographie des acteurs



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Flèche information patiente 1

Les institutions gouvernementales informent les patients en diffusant des rapports de façon régulière. Dans ces derniers, l’efficacité du vaccin et l’impact des effets secondaires éventuels sont réévalués. De plus, ils redéfinissent le rôle du vaccin dans la politique de prévention du cancer du col de l’utérus, en appuyant par exemple sur la nécessité de continuer le frottis en parallèle.




Flèche information patiente 2

Les laboratoires (surtout Merck) ont informé les patients via des publicités sous forme d’affiches ou de spots télévisés, notamment durant l’été 2007. Il s’agissait avant tout de convaincre les mères de faire vacciner leurs filles. Cette publicité a été interdite car l’efficacité du vaccin Gardasil n’est pas prouvée à l’heure actuelle.




Flèche information patiente 3

Les médecins informent les patientes lors des consultations médicales. Eux-mêmes ont reçu des renseignements via la presse (revue « le Quotidien du Médecin » ou « Prescrire »), ou en rencontrant des visiteurs médicaux.




Flèche information patiente 4

Les organisations indépendantes n’ont pas le même avis sur le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Ainsi, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français donne un avis objectif, tandis que les associations de victimes vont dénoncer de façon virulente la dangerosité des effets secondaires éventuels. Enfin, de nombreux organismes (Judicial Watch, Med’Ocean …) critiquent l’efficacité du vaccin et son utilité vis-à-vis du frottis. Ces deux derniers acteurs communiquent de façon privilégiée grâce à la presse écrite, internet et les réseaux sociaux.




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