Les méthodes non invasives
La stimulation magnétique transcrânienne Elle consiste à appliquer une impulsion magnétique sur le cortex cérébral à travers le crâne de façon indolore au moyen d’une bobine. La variation rapide du flux magnétique induit alors un champ électrique qui modifie l’activité des neurones situés dans le champ magnétique. Applications : (Source : Wikipédia)
Les Smart Drugs Initialement destinés au traitement des troubles de l’attention, du sommeil et de la mémoire, ces médicaments possédant une action de modulation de la physiologie et de la psychologie du patient impliquant une augmentation cognitive. Elles sont appelées nootropiques lorsqu’elles ne présentent pas ou relativement peu d’effets nocifs sur la santé à dose standard. Le modafinil est le premier agent pharmaceutique nootropique, psychostimulant utilisé pour le traitement de la narcolespsie et de l’hypersomnie. Aujourd’hui, son utilisation est massivement détournée dans le but d’améliorer la concentration et l’éveil. Définie dans un article du Guardian comme la smart drug la plus sûre, il s’agit néanmoins d’un psychotrope puissant indisponible sans ordonnance et dont les effets sont encore mal connus. La Ritaline (molécule de méthylphénidate) est un psycho-stimulant de la famille des amphétamines.Ce médicament est utilisé depuis les années 1990 contre le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), et secondairement pour traiter la narcolepsie ou l’hypersomnie. (Source : Wikipédia, The Guardian)
Les méthodes invasives
Interface neuronale directe Interface de communication directe entre un cerveau et un dispositif externe par implantation Applications : (Source : WIkipédia)
Stimulation cérébrale profonde Cette méthode a été mise au point grâce à une collaboration du neurochirurgien Alim-Louis Benabid et du neurologue Pierre Pollak au CHU de Grenoble, dans les années 1980-1990. Stimulation des zones spécifiques du cerveau par implantation chirurgicale d’électrodes. Ces dernières sont connectées à un boîtier délivrant des courants électriques de faible intensité dans les zones visées. Aujourd’hui, 5 à 10% des personnes souffrant de la maladie de Parkinson bénéficient de ce traitement. Elle permet une réduction des symptômes et un recul de la maladie de plus de dix ans pour certains patients. (Source : Inserm)