Depuis 2009, sept cas d'ATMS ont été recensés dans l'Ain par le REMERA. À la découverte de l'anagésie de leur enfant à la naissance, les familles pensaient chacune être des cas isolés. Elles deviennent petit à petit membres d'associations qui les aident à surmonter cette épreuve comme l'ASSEDEA. En septembre 2018, le scandale des "enfants sans bras" éclate. Dès lors les familles sont alpaguées par la presse. Emmanuelle Amar, directrice du REMERA, devient la personnalité médiatique de l'affaire. Le sujet est alors discuté par les personnalités du monde politique et devient un véritable scandale nationale.