Statistiques ethniques : utiles, inutiles ou dangereuses ?

Notre Démarche

Le plan du site s’articule autour de quatre questions :

Avant d’arriver à cette décomposition, nous avons exploré d’autres voies d’approche. Afin de justifier ce choix final, nous vous proposons de vous les exposer dans ce qui suit.

Les « pro » contre les « anti » ?

Une première approche consistait naïvement à observer les différents acteurs impliqués et leur répartition en « pro- » ou « anti- » statistiques ethniquesStatistique ethnique n.f. : Toute collecte de données concernant l’appartenance ethnique des individus., en pensant qu'elle serait peut-être simple et permettrait ainsi d'articuler l'étude le plus clairement possible.

Nous nous sommes vite aperçus qu’une dichotomie n’était pas pertinente : en effet, les profils, les arguments et les actions menées par les partisans et détracteurs de ces statistiques variaient trop pour pouvoir les rassembler en « oui » et « non ».

Une division en catégories d’acteurs ?

Cette seconde approche, plus complexe, pensait observer l’attitude respective de chaque groupe d’acteurs de la controverse. Malheureusement, elle ne convenait pas non plus: malgré les quatre grandes "variétés" d'acteurs, à savoir les autorités législatives, les sociologues et démographes, les associations de lutte contre les discriminations, et les personnages ou groupes politiques, il était impossible de se limiter à cette division pour établir une structure pertinente. En effet, chaque catégorie d'acteurs était profondément divisée en interne, sur un ou plusieurs des quatre aspects évoqués précédemment.

Vers une controverse au pluriel

C’est à partir de chaque micro-fracture, de chaque mini-clivage, que se construit le véritable paysage de ce domaine de la sociologie, où tout fait débat. C’est en tout cas la ligne d’investigation que nous avons adoptée pour mener notre travail et choisir les « bonnes » personnes à consulter.

Les points de controverses

Qui sommes nous ? Clause de non-responsabilité Remerciements