D’un point de vue économique, les acteurs du football (clubs, joueurs, fédérations) créent un produit : le match, qu’ils vendent à leurs sponsors, aux chaînes de télé et bien sûr aux supporters. Ces-derniers représentent donc le client direct d’un marché économique complexe régi par plusieurs instances. Elles agissent alors sur le public pour le faire désirer ce qu’elles ont à offrir, dans la classique problématique d’adéquation entre offre et demande, et cela va parfois jusqu’à la tentative d’une sélection de la clientèle. Au-delà de cette volonté, le football a un tel rayonnement qu’il marque profondément la société. On assiste à la construction d’un public mais, est-il en accord avec ce que le football devient ?
1. Un club peut-il choisir ses supporters ?
Les fans d’un club de foot, c’est une institution. Lorsque l’on est fan d’un club, on commence par suivre ses résultats, on regarde les matchs, on va au stade lorsque l’on peut, on en parle sur les réseaux sociaux et on finit par acheter le maillot de l’équipe, floqué au nom de son joueur favori. Mais devant la financiarisation du foot, sa mondialisation et l’explosion de sa couverture médiatique, certains clubs essayent d’imposer une « image de marque » parfois en désaccord avec son identité passée.
C’est le cas récemment du Paris Saint-Germain. En mai 2011, le fond d’investissement du Qatar rachète le club et entreprend de le réformer : le brésilien Léonardo est nommé directeur sportif, à la fin de l’année c’est un grand nom du football : Carlo Ancelotti qui devient entraîneur mais c’est surtout l’arrivée de l’argent qatari (dès l’été le record du plus gros transfert de ligue 1 est pulvérisé par l’arrivée de Javier Pastore pour 42 millions d’euros) et leur ambition de faire du PSG une marque mondiale qui va révolutionner le club de la capitale. Déjà, cette arrivée d’argent est jugée démesurée et les inégalités avec les autres clubs de ligue 1 sont dantesques (et la situation s’est accentuée jusqu’à ce que l’effectif du club vaille, en transferts, 40% du total de la ligue 1 en 2014 [1]).
L’argent investi dans le club va finir par aseptiser les rapports humains, notamment ceux avec les supporters : le public du Parc des Princes a changé. D’abord, ce changement s’inscrit dans un contexte plus global de réduction des violences dans les stades de foot. Au début des années 2000 subsistaient un problème de hooliganisme en France, certains clubs de supporters, des « ultras », étaient la cause de débordements et d’actes de violences. De nombreux clubs ont décidé d’éradiquer le hooliganisme, et à Paris à l’été 2010, le plan de sécurité Leproux a été mis en place. Il a supprimé les associations de supporters, a limité le nombre de places que l’on pouvait prendre en commun et a instauré un placement aléatoire. Malheureusement, la confusion entre hooligans, à éradiquer, et supporters ultras, qui donnent de la voix et soutiennent leur équipe avec coeur, est inévitable. En supprimant les individus dangereux, on supprime aussi le public le plus investi dans l’équipe.
Ensuite, cette mesure a été intensifiée par l’augmentation des prix et une nouvelle répartition des places. De plus, un travail de communication est fait pour changer l’image de la marque et aller dans le sens d’un nouveau public ciblé par le Qatar : le club se démarque de cet esprit parisien, populaire. Même si les démarches qui ont été mises en place par les dirigeants du club ne sont pas communiquées, le résultat est clair :
« C’est plus familial, c’est plus bon enfant, ce n’est pas le même public qu’il y a cinq ans », affirme Bruno Roger-Petit, journaliste sportif. Ce à quoi l’ancien président du club, Charles Villeneuve répond : « Tant mieux » (en référence aux débordements qu’il avait vécu) « Il y a eu deux morts ! ».
Et Bruno ajoute : « Les places sont plus chères, le public est plus bourgeois, plus familial. C’est la cible des qataris. »[2]
Enfin, on remarque que le public est aussi déterminé par le pays dans lequel il vit. La situation est bien différente en Angleterre où la ferveur du public est bien plus importante, où le football est bien plus ancré dans la société (Selon la conscience populaire, les prix des places de première ligue sont en effet nettement supérieurs à ceux de ligue 1. On trouve un rapport de deux ou trois selon les sources.[2] Alors que, pour les 5 dernières années, le remplissage des stades anglais est de 93%, et de seulement un peu plus de 70% en France[2]). Et, si en première division le taux important d’affluence peut s’expliquer par l’abondance de stars, on peut noter qu’en deuxième division anglaise, l’affluence en 2012-2013 est de 64,4%, bien supérieur à l’affluence en Ligue 2 (40,4% en 2013-2014).
2. Les médias : vendeurs de rêve
Les médias, incarnés par les journalistes et les chaînes de télévision façonnent un public de spectateurs et de consommateurs toujours plus nombreux, toujours plus attentif à tout ce qui touche le football.
Ce graphique confirme l’observation que Patrick Razurel nous a confié. Ainsi, « on regarde plus le foot à la télé et à travers la presse que dans les tribunes ».
Les droits télévisuels représentent souvent plus de la moitié du budget des clubs, et le football est aujourd’hui un produit très médiatisé (dans les plus grandes audiences, on retrouve toujours des matchs de foot). Les clubs et les joueurs sont la cible directe des médias qui passent tout au crible, dans le même temps les médias sont directement dépendants des résultats et des événements footballistiques qui font leurs gros titres. C’est bien le boom médiatique qui est à l’origine du foot spectacle, les médias exercent une pression de résultat et d’émotionnel. Ils rajoutent sans cesse des enjeux sur chaque match : récemment, la pression mis sur les deux grands de ligue 1 (Monaco et Paris) l’atteste ; par exemple le journal l’équipe titre : « Coup de froid, le PSG est tombé contre l’Evian-TG » pour sa première défaite en ligue1 le 13 décembre. Les fans gagnent peu à peu le même esprit et en attendent de plus en plus de la part du foot.
Depuis 1998, les médias évite parfois de donner clairement leur opinion. L’événement qui a changé la situation est « l’affaire Jacquet ». Pendant la préparation de la coupe du monde 98, le journal L’Equipe (qui exerce encore aujourd’hui un monopole en France) fait part des doutes de la majorité des français, ne croyant pas à un succès des Bleus et l’entraîneur Aimé Jacquet est régulièrement critiqué. Quand juste après la finale, alors que c’est tout le pays qui est en liesse, Jacquet déclare : « Je ne pardonnerai jamais », c’est toute la famille médiatique qui est bouleversée. Dès lors, les médias s’imposent des limites, ils se censurent en quelque sorte : « Tout ne peut pas être dit ». Voilà pourquoi leur rôle est devenu : soutenir, accompagner et véhiculer les émotions créées par le spectacle du football.[3]
Les droits télévisuels représentent souvent plus de la moitié du budget des clubs, et le football est aujourd’hui un produit très médiatisé (dans les plus grandes audiences, on retrouve toujours des matchs de foot). Cependant, l’arrivée des télévisions payantes restreignent le public, mais ce recours était nécessaire. Les sommes d’argent mises en jeu dans le monde du foot ont explosé depuis les 20 dernières années et les droits télé versés aux clubs ont été multipliés par 60. [4] Le football s’éloigne de plus en plus des classes populaires qui l’ont installé dans la société.
3. L’action des nations et des fédérations
Quand les décisions des dirigeants d’un club peuvent impacter une partie de ses supporters, les travaux ou la politique mises en place par un pays et les compétitions organisées par l’UEFA ou la FIFA ont affaire à un public de masse. Bien plus que le football professionnel, c’est le football national qui touche l’ensemble de la population, les audiences tv permettent de mesurer cet engouement : le 9 juillet 2006, la finale de la coupe du monde France-Italie fut suivie par 22,1 millions de téléspectateurs, c’est la plus grosse audience de tous les temps après la demi-finale du 5 juillet avec 22,2 M. Cette année encore, le match pour la qualification du mondial 2014 contre l’Ukraine est la plus grosse audience de l’année selon Médiamétrie. L’apport du pays au public du football est d’abord la construction des infrastructures. Le Stade de France, enceinte qui reçoit chaque année les finales des coupes de France de football mais aussi de rugby, les matchs des bleus ainsi que de nombreux concerts a été construit pour la coupe du monde 98. De nouveau, pour l’Euro 2016 ce n’est pas moins de quatre stades qui ont été (Lille, Nice) ou vont être (Lyon, Bordeaux) construits. De plus, aidés par les médias, les pays tablent sur un sentiment patriotique exacerbé lors des grands matchs de l’équipe nationale.
Le mondial et l’Euro sont respectivement mis en place par la FIFA et l’UEFA qui offrent des compétitions de qualité, des beaux matchs, du spectacle. Il faut ajouter à cela l’annuelle ligue des champions, sans doute le trophée le plus prestigieux qu’un club puisse remporter (puisque la compétition rassemble les plus grandes équipes d’Europe, sur les 20 meilleurs clubs du monde, seuls quatre ne sont pas européens [5]). Avec ses nombreux matchs d’exception et son enjeu (à la fois pour la renommée, le prestige et les finances du club) cette compétition est un succès. Cela montre que le football est ancré dans la mondialisation, de plus ces compétitions accentuent le supporterisme. Tout le monde y gagne, les fans de foot lambda peuvent voir des matchs de plus haut niveau que ceux de leur championnat et les supporters d’un club qualifié ont l’occasion de voir leur équipe se confronter à des grands clubs. Plus simplement, ils peuvent voir plus de matchs en étant, une fois encore, poussés à la consommation, comme on a pu le voir avec l’engouement spectaculaire qu’a créé le quart de finale PSG-Chelsea au parc des princes et des internautes qui attendent une demi-journée que le site de la billetterie ne soit plus saturé pour finalement se retrouver (pour beaucoup) bredouille sans aucune place.[6]
4. L’exemple précis du Mondial 2014 au Brésil
En plus de la façon dont le public voit les matchs, les gouvernements des pays ont aussi une influence sur la façon dont le pays est perçu par les fans de football du monde entier, et à travers cela, par des personnes du monde entier. Conscients que l’organisation d’un grand événement sportif comme la Coupe du Monde de football offre une vitrine exceptionnelle pour montrer son pays (Il n’y a jamais eu autant de recherches sur le Qatar sur Google que lorsque le Qatar a été nommé organisateur de la coupe du monde 2022), les gouvernements se sentent vraiment impliqués. Ainsi, l’organisation de la Coupe du Monde 1998 en France a permis selon Pascal Boniface de produire des «effets positifs sur le rang de notre pays dans le monde [et de véhiculer] l’image d’une intégration réussie, d’une cohésion interne » [7].
« Au football, le Brésil stagne à la huitième place mondiale et ils sont tous tristes. Pour l’éducation, il est à la 80ème place, et personne ne dit rien… » Le salaire de 344 professeurs = Le salaire d’un parlementaire
En 2014, le Brésil, 6ème puissance économique mondiale, est le pays organisateur de la Coupe du Monde de football. Pour organiser cet événement, le Brésil (dont 85% par l’intermédiaire de l’Etat Brésilien) a dépensé plus de 10 milliards de dollars [8] pour construire des nouvelles infrastructures, en rénover d’autres. Les stades rénovés aujourd’hui ravissent certains fans. Un fan de Flamengo qui est allé au Maracana après sa rénovation a ainsi affirmé «Le stade est super, les infrastructures sont bonnes. On est bien accueilli quand on arrive en tribunes et on se sent en sécurité. Je pense que notre pays est prêt à recevoir les visiteurs du monde entier».[9] Des travaux plus obscurs seraient également menés par la police brésilienne. En effet, depuis le début de l’année 2013 les villes dans lesquelles se dérouleront des matchs et dans lesquels viendront des millions de touristes, comme Sao Paulo, sont l’objet d’un nettoyage social. Une « chasse au SDF »serait en effet menée par des branches appartenant à la police. (Centre national des droits de l’homme au Brésil )Plus que son public, c’est son peuple que le Brésil souhaiterait ici façonner.
Parallèlement, en juin 2013, lors de l’organisation de la coupe des confédérations au Brésil, compétition qui est censée être la dernière grande répétition avant le Mondial, des manifestations ont mobilisé de nombreux Brésiliens dans les plus grandes villes du pays. Le 20 juin, 300 000 personnes ont ainsi manifesté dans les rues de Rio de Janeiro, la manifestation de plus grande envergure depuis près de 20 ans au Brésil.[9]
Initialement à Rio, les protestations concernaient la hausse des titres de transports. Mais ensuite, les manifestants s’en sont pris à l’organisation du Mondial et à toutes les dépenses occasionnées. Même si la FIFA assure que les retombées économiques liées à l’organisation de cet événement seront trois fois plus importantes que les investissements, les manifestants arguent eux que cet argent va seulement profiter à certaines compagnies, notamment celles chargées des travaux.
Les professeurs sont également entrés en grève à Rio. Pour eux, l’argent public dépensé pour le mondial est gâché car le Brésil est dans «une situation catastrophique au niveau de la santé et de l’éducation».[9] Ils ont alors manifesté en utilisant certains slogans choques comme « Brésil, réveille-toi, un professeur vaut plus que Neymar. »[10] (Neymar étant la nouvelle star du Brésil, transférée pour 60 M€ au FC Barcelone en juin 2013).
Ce mouvement de protestation mené à l’encontre du gouvernement a été suivi par certains artistes. Ainsi, Edu Krieger, un célèbre chanteur Brésilien de 40 ans a écrit un hymne anti-coupe du monde dans lequel il s’adresse à Neymar et à l’ancien sélectionneur de l’équipe national Parreira « Excuse-moi Neymar mais pendant cette Coupe du Monde je ne vous soutiendrai pas. [...] Parreira, j’ai vu combien le « tetra » (le 4e titre de champion du monde) a rendu les gens heureux mais nous ne serons pas les vrais champions en dépensant plus de dix milliards pour organiser la Coupe, dans le pays on a de beaux stades monumentaux alors que les écoles et les hôpitaux tombent en ruine, Parreira, j’ai vu un abîme entre deux Brésil ». Finalement, selon un sondage mené par le quotidien Folha de Sao Paulo, 55% de la population brésilienne serait contre l’organisation de ce mondial.
Et pourtant, les Brésiliens ne sont pas exclus de l’événement, comme en témoigne l’effort fait par le comité d’organisation du mondial avec la mise en vente de places réservées exclusivement aux Brésiliens et qui leur permettent de dépenser 80€ pour aller voir un match, quand un habitant d’un autre pays devra lui débourser au minimum 250€ pour assister à un match.
A travers cet exemple du Brésil, on voit qu’un pays peut, plus que façonner des supporters, essayer de façonner l’image même d’un pays, de son peuple. Il peut essayer de donner une image positive, une image de grandeur, de force, mais s’il y a une fracture trop grande entre le peuple et les politiques mises en place, si le peuple trouve que les dépenses faites pour le football sont trop grandes, si elles ne sont pas assez contrôlées, l’organisation d’un tel événement est dénoncé et à travers l’événement, la FIFA elle-même. Ainsi, Rivaldo, champion du monde avec le Brésil en 2002 a déclaré à une radio brésilienne « La vraie présidente de notre pays, c’est la FIFA. Elle arrive, installe son cirque sans dépenser le moindre sou et rafle le pactole ensuite. [...] Ils se foutent de nous, nous manquent de respect et n’ont aucun scrupule. »[11]
5. L’impact du football dans la société
Tous les acteurs qui on un rôle dans la construction du produit football influent logiquement sur le supporter. En plus de cela, le monde du football lui-même (la résultante de la nature du sport et de toutes les influences qu’il subit) a un impact sur la population.
D’abord, comme tous les sports ancrés profondément dans la société, il véhicule des valeurs morales : « le football demeure un outil d’éducation et d’insertion sociale » affirme Christian Karembeu.[12] Il donne deux exemples. Le Brésil qui s’est élevé au rang des meilleurs équipes était d’abord un pays en voie de développement. Le football y est bien sûr le sport national mais plus que cela, il fait partie intégrante de la vie des Brésiliens au quotidien et il est certain qu’il a contribué à l’essor national. En Océanie, en partenariat avec le rugby, la fédération (OFC) a lancé des programmes pour permettre aux jeunes de pratiquer le sport. Dans le même temps, ces initiatives les accompagnent dans l’accès aux études et leur apportent les valeurs propres au sport telles que le respect.
Mais cette force naturelle du football porteur de valeurs morales, qui rassemble dans le respect et fait partie intégrante de l’éducation par le sport est souvent remise en cause par le football professionnel qui recrute dans leur centre de formation des joueurs de plus en plus jeunes. Certains clubs s’attachent malgré tout à soutenir ces valeurs, Patrick Razurel nous a ainsi témoigné s’agissant du FC Metz. « Ce sont aussi des centres où on essaye d’inculquer une culture générale […] On a mis en place des structures de suivi scolaire [et d'autres] structures d’éducation car on sait que le pourcentage de réussite par le foot est très limité ».
Cet effort apporté à l’éducation des jeunes joueurs permet de leur laisser toutes les cartes en main pour assurer leur projet professionnel. En plus de cela, le club ne les sort pas de la société, et renforce leur appartenance à la communauté. Sur ce point, le FC Metz est un exemple : « En France, en général, les clubs traitent la scolarité de leurs joueurs en interne. On s’aperçoit que ce n’est pas la bonne formule. Nos jeunes doivent vivre au sein de la société, savoir appréhender ses difficultés, connaître la vie de groupe, ne pas vivre reclus. Ils sont ainsi ouverts, savent ce qu’il se passe dans la vie de tous les jours, ne sont pas obnubilés par la réussite par le foot. »
Enfin, le devenir du football en tant que sport ou en tant que business est intimement lié à la société. Depuis un siècle, les clubs sont des entreprises de vente de spectacle sportif, par nature le football professionnel est un business. Mais le rapport à l’argent est souvent critiqué par le grand public.
Wladimir Andreff explique qu’aux Etats-Unis, la question de la valeur du foot (morale ou économique), de son ambivalence sport-business ne se pose pas. Le sport y est un business assumé, les clubs sont des entreprises qui cherchent à maximiser leur profit : c’est leur but primaire. Mais la population l’accepte : « Les supporters savent très bien que c’est pour faire de l’argent mais ils aiment bien boire de la bière en regardant du baseball le dimanche après-midi et ils continuent à y aller. » En Europe, on n’en n’est pas là, ce n’est pas notre philosophie. Selon lui, il y a deux solutions au problème du « sport-business », la solution à l’Américaine, « Ou alors, les supporters européens ne sont pas prêts à accepter cela et il y aura un jour un déclin du football. Mais je pense que les clubs et les télévisions l’empêcheront. » Le football est appelé à rester un sport national.
[1] CIES Football Observatory 2014
[2] Extrait de l’émission « Les Spécimens » du 27/02/13
[2] Prix des billets en ligue 1 (2013-2014) et comparaison avec l’Angleterre
[2] Etude de l’affluence dans les stades de foot européens
[3] Riolo, Daniel. « Football et médias : un heureux mariage de raison », Géoéconomie, 2010/3 n° 54, pp 91-103
[4] Rapport de Terra-Nova : « Changer ou disparaître : quel avenir pour le football français ? »
[5] Classement mondial des clubs
[6] Engouement spectaculaire pour assister à PSG-Chelsea au Parc des Princes
[7] Pascal Boniface cité dans L’effet coupe du monde
[8] La colère des Brésiliens in Le Figaro
[9] La coupe du monde ne séduit pas tous les brésiliens
[10] Paroles de manifestants au Brésil in francetvinfo
[11] Rivaldo : « Le Brésil va voir honte ! »
[12] Karembeu, Christian. « De l’Océanie au sommet du monde du football ».Géoéconomie, 2010/3, vol n°54, pp 123-126.