Les acteurs impliqués dans la controverse se répartissent en cinq principales catégories :

Les utilisateurs

Ils peuvent être aussi bien des personnes uniques que des associations ou des entreprises.

Les théoriciens

Ils tentent de définir l’économie collaborative et d’en déterminer les impacts sur la société. En donnant leur avis sur la question, ils cherchent à mettre en garde, ou au contraire à inciter à une plus grande utilisation du collaboratif, et essaient ainsi d’influencer les acteurs politiques dans leurs décisions.

Les institutions politiques

Leur objectif est d’offrir un cadre législatif et financier plus strict à l’économie collaborative, afin de réguler cette nouvelle forme de consommation.

Les associations et entreprises « collaboratives »

Leur fonctionnement est le cœur de la controverse.

Les concurrents dits « classiques »

Il s’agit des entreprises non collaboratives offrant des services aujourd’hui proposés par des entreprises collaboratives. Depuis l’apparition de ces dernières, les utilisateurs ont changé leurs habitudes vis-à-vis de ces acteurs, qui en retour appellent l’État à légiférer pour réguler l’économie collaborative.