Tous les acteurs ayant réagit par rapport aux réparations pour l’esclavage
La loi Taubira est absolument essentielle à la controverse. Le débat autour de la pérennité de la mémoire de l’esclavage s’est enflammé lors de l’adoption de cette loi et de ses conséquences. Le moteur derrière cette loi est donc un acteur crucial à la controverse.
Pour plus d’informations sur Christiane Taubira.
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/05/Francois_Hollande_2015.jpeg
François Hollande est depuis le président de la République française.
François Hollande a été impliqué dans cette controverse en tant que chef de l’état français, ex-état esclavagiste. Jusqu’à présent il a refusé toute compensation financière pure à ce propos. Récemment, lors de la journée de commémoration de l’esclavage du 8 mai, un processus de réparation concernant les mémoires de l’esclavage a toutefois été commencé. Ainsi, différents musées ont étés construit (comme le mémorial ACTe en Guadeloupe) en mémoire à l’esclavage. Bien que ces réparations ne soit pas des réparations financières pures on voit tout de même que l’état français a payé ces musées et a donc investi financièrement pour cette cause.
Pap N’Diaye
Pap N’Diaye est un historien français.
Il a pris position à différentes reprises pour lutter contre les discriminations raciales, héritières de l’esclavage. En tant qu’historien il a pu décrire avec précision les différentes conséquences de l’esclavage et les différentes actions de réparations.
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Louis_Georges_Tin.jpg
Louis-Georges TIN s’est rapidement présenté comme étant l’acteur majeur français de cette controverse. Depuis qu’il a succédé à Patrick Lozès à la tête du CRAN (Conseil représentatif des Associations Noires) en 2011, Louis-Georges TIN a pris position à de nombreuses reprises.
Il milite pour les réparations pour l’esclavage et est très actif, il a notamment poursuivi en justices différents organismes.
