Ce site a été réalisé par cinq étudiants de première année du cycle ingénieur de l’École des Mines de Paris, dans le cadre du cours “Description de controverses”, cours qui a pour objectif de sensibiliser les étudiants à l’évolution de leur contexte professionnel et civique en les introduisant à l’univers incertain de la recherche scientifique et technique. Nous avons également procédé à toutes les recherches documentaires et entretiens mentionnés dans le site.
L’équipe :
- Bastien Lafon : Coordinateur (bastien.lafon@mines-paristech.fr)
- Lola Peladan : Infographiste (lola.peladan@mines-paristech.fr)
- Clotilde Bukato : Documentaliste (clotilde.bukato@mines-paristech.fr)
- Maxime Massa : Webmestre (maxime.massa@mines-paristech.fr)
- Marey-Camille Arcos–Ferrer : Webmestre (marey-camille.arcos-ferrer@mines-paristech.fr)
Clause de non-responsabilité :
Le site web suivant est un exercice réalisé par des élèves de première année de l’Ecole des Mines de Paris dans le cadre du cours de Description des controverses. Ces sites sont le résultat du travail d’étudiants et sont mis en ligne pour des raisons pédagogiques et didactiques. Mines ParisTech décline toute responsabilité pour les erreurs et les imprécisions que peuvent contenir ces sites. Vos réactions et commentaires sont très bienvenus. Pour signaler une erreur, réagir à un contenu ou demander une modification, merci d’écrire aux élèves et à la responsable de l’enseignement (madeleine.akrich@mines-paristech.fr).




Économiste français libéral, directeur du cabinet de conseil Asterès et co-fondateur du groupe de réflexion du Cercle de Belèm. Il prend régulièrement position dans les médias grands publics français, notamment au sujet des peurs pour l’emploi suscitées par les avancées technologiques. Son dernier ouvrage publié (paru en 2017) s’intitule Le travail est l’avenir de l’homme.
Économiste français, directeur général de Paris Région Entreprises. Investi dans le débat public, il siège au conseil scientifique de la Fondapol et donne cours à Sciences Po sur la robotique et le numérique. Il a publié notamment Relancer notre industrie par les robots (Du Quesne, 2012) et a contribué au Manifeste pour l’investissement productif (Symop, 2016).
Économiste américain, lauréat du prix de la Banque de Suède en sciences économiques (dit « prix Nobel d’économie ») en 2013. Il appuie les propos de Bill Gates dans The Guardian, par un article abondamment cité par des journalistes d’autres médias (notamment américains et français). À noter que Robert Shiller a 116K followers sur Twitter et que cet article a été retweeté 169 fois à ce jour. Il écarte l’idée du revenu universel, non par principe mais par le fait qu’elle ne trouverait aucun soutien dans l’opinion publique américaine. Comme Bill Gates, il évoque un reversement de la taxe en faveur des travailleurs déclassés et se réfère plus précisément aux concepts de « wage insurance » (assurance de salaire) et de « livelihood insurance » (assurance des moyens de subsistance), pensions temporaires qui seraient versées aux travailleurs victimes de l’automatisation.
PDG de Microsoft. Il a donné une
Candidat aux primaires du Parti socialiste français puis aux élections présidentielles de 2017. Son
Maître de conférence en droit privé, HDR (Université d’Artois) spécialisée dans les domaines du droit de la robotique et de la technologie. Auteure du Traité de droit et d’éthique de la robotique civile (janvier 2017) et initiatrice d’une pétition en réaction à la proposition de la commission européenne Règles de droit civil sur la robotique, concernant la personnalité juridique des robots (Open Letter to the European Commission : Artificial Intelligence and Robotics). Elle est également fondatrice de Robotics Legal Consulting, un Cabinet de conseil en droit et en éthique de la robotique, notamment partenaire du Symop.
Professeur de droit fiscal suisse et international à l’Université de Genève et avocat. Il a récemment travaillé et s’est publiquement exprimé au sujet de la mise en œuvre juridique et fiscale et des enjeux d’une taxation des robots. Cité par un article du Monde en février 2017 , il a également donné une