L’étude de Lyon a été réalisée en 1999 par un groupe de chercheur, dont Michel de Lorgeril, afin d’étudier les effets du régime dit méditerranéen sur un groupe de personnes ayant déjà eu un accident cardiovasculaire (De Lorgeril et al., 1999).
Après analyse des données récoltées, les chercheurs ont pu observer une réduction du taux de maladies coronariennes de 50% en moyenne (De Lorgeril et al., 1999)., soit un résultat bien supérieur à ceux obtenus pour les statines suite à des études réalisées en 1994 et 1995 (Dupagne, 2017).