Ce rapport, demandé par le ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie, et réalisé par la Commission Générale de l’Environnement et du Développement Durable s’intéresse au contre-projet porté par les associations.
La couverture de l’autoroute A13 est jugée techniquement réalisable, sous réserve d’ajout de certaines mesures de sécurité et contraintes constructives non encore implémentées par le projet.
D’un point de vue financier, un écart est noté entre les coûts des deux projets. En outre, la FFT estime que pour que ce contre-projet réponde à son cahier des charges, il faudrait une plus grande couverture de l’autoroute et donc un coût plus de 2 fois supérieur à celui prévu par les associations.
Il conclut qu’il faut étudier le projet global à cause d’une différence de conception importante entre la FFT et les associations. Cette étude est selon le rapport plus à même d’être réalisée par la FFT et le ministère de la ville, de la jeunesse et des sports. Les impacts environnementaux sont également à prendre en compte, notamment l’impact sur le paysage de la dalle au-dessus de l’autoroute et les nuisances sur la circulation automobile. Il est à noter aussi que la couverture de l’A13 crée une jonction entre le site protégé du Bois de Boulogne et Roland-Garros. Enfin, l’utilisation par les riverains des aménagements annexes à Roland-Garros sont à étudier plus en profondeur.