- Un des objectifs est d’affiner les méthodes d’évaluation des populations.
- Les décisions du gouvernement ont été prises suite aux résultats d’une étude, commandée par le Ministère français de l’environnement réalisée par Olof Liberg, spécialiste suédois du loup. Le bilan du suivi français est excellent, même si O. Liberg fait quelques remarques pour améliorer la rapidité et fiabilité des résultats :
« My general impression of the French wolf monitoring program, how it is organized, the methods it is using, and the personnel involved, is that it holds an unusually high standard, also in an international context. The use of several independent methods that support each other is a tremendous strength ».
- Les méthodes d’évaluation sont jugées satisfaisantes mais doivent être, selon l’Etat, accélérées pour donner les résultats de l’année N en juin de l’année N+1. Elles sont détaillées par des agents de l’ONCFS et des parcs nationaux dans un papier publié dans Hytrix (Italian Journal of mammalogy).
- Les auteurs insistent sur l’importance d’un nombre conséquent d’agents sur le terrain, pour la fiabilité des données sur lesquelles se reposent les preneurs de décisions :
« the spatially-controlled network of experts is a key factor to address expectations of decision makers in charge of solving wolf-human activities conflicts ».
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