France Libertés résulte de la fusion de deux associations humanitaires : l’Association du 21 juin et Cause commune, créées respectivement en 1982 et 1983 par Danielle Mitterrand. Reconnue d’utilité publique, cette fondation à but non lucratif est dotée du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies depuis 1991.
L’objectif de l’organisation, depuis 1986, est de construire un monde plus juste et plus solidaire dans lequel chacun puisse exercer sa liberté dans le respect de l’autre. France Libertés a pour mission de défendre les droits de l’homme, le droit d’accès à l’eau pour tous et le droit des peuples à disposer de leurs richesses. Elle soutient la résistance des peuples et des individus opprimés dans leurs libertés et apporte son soutien « à tous ceux, où qu’ils soient, que leur condition sociale ou des éléments naturels exposent au dénuement et à la misère ».
La fondation de Danielle Mitterrand a participé, à de nombreux grands combats tels que la lutte contre le racisme, le soutien au peuple tibétain, ou la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud. Elle participe aux grands projets d’aide aux pays du Sud comme la reconstruction du système éducatif et social au Cambodge, ou la lutte pour la sécurité sanitaire en Afrique. D’après son site internet « France Libertés a pour mission de défendre les droits humains et les biens communs du vivant, notamment le droit fondamental d’accès à l’eau pour tous. La Fondation Danielle Mitterrand contribue à la construction d’un monde plus solidaire ». De plus, elle définit aussi son engagement comme « constant auprès des populations » et elle prédique qu’il « se traduit dans l’appui à leur combat pour disposer de leurs richesses naturelles, la lutte contre la spoliation de leurs terres ou encore la préservation de leurs savoir-faire et savoir-vivre ». Pour remplir ces objectifs, France Libertés s’engage à soutenir des initiatives de terrain porteuses de solutions et de changement, à plaider auprès des décideurs et des instances internationales, nationales et locales pour rendre les droits humains effectifs mais aussi à sensibiliser pour former, informer et mobiliser les citoyens.
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