Cette première phase se situe avant même l’apparition de la controverse. En effet jusqu’à l’an 2000, aucun véritable soupçon ne pèse quant à la possibilité d’un lien entre l’absorption d’aluminium via l’utilisation de déodorants et antitranspirants, et l’apparition de cancer de sein. Néanmoins, dans le cadre d’autres controverses, des interrogations sur la potentielle toxicité de l’aluminium apparaissent suite à la publication d’études. Nous avons choisi de recenser les études les plus caractéristiques. En parallèle de l’essor de l’utilisation des déodorants, celles-ci ont participé à créer le terrain nécessaire à l’éclosion de la controverse sur les dangers de l’aluminium dans ces cosmétiques quelques années plus tard.

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