De manière étonnante, les règlementations européennes n’ont que tardivement émis des recommandations quant à l’utilisation de sels d’aluminium dans les déodorants et antitranspirants.
Ce n’est qu’une dizaine d’années après la publication de sa version initiale, en 1976, que l’aluminium a été intégré à la Directive Cosmétiques en tant que substance dont l’usage devait être encadré. Il n’est y dispensé qu’un seul conseil concernant ces produits cosmétiques : ne pas les appliquer « sur la peau irritée ou endommagée », afin de prévenir une éventuelle pénétration de ces substances au niveau du derme.
Depuis, les institutions européennes n’ont jamais requis l’évaluation du risque que présentent les sels d’aluminium contenus dans certains antitranspirants et déodorants.
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