L’AFSSAPS, qui se veut garante des Bonnes Pratiques de Laboratoires reproche aux travaux de Mme Darbre de ne faire état d’études de cancérogénèse pour venir corroborer la thèse défendue. Par ailleurs, il lui est aussi reproché de ne présenter aucune étude mécanistique – de pénétration des sels d’aluminium dans le derme – limitant alors la portée de son étude au sein du monde scientifique.
A décharge, l’AFSSAPS reconnaît toutefois la grande difficulté que représente la réalisation de telles études, puisque dans l’idéal elles devraient être réalisées à très grande échelle chez la femme, pour laquelle il est impossible de prédire à l’avance le déclenchement de pathologies pouvant fausser les résultats de l’étude.
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