Au cours de l’entretien réalisé avec Virginie Belle, la journaliste a évoqué les difficultés rencontrées pour contacter l’AFSSAPS autour de la controverse liée à l’aluminium malgré le caractère public de l’organisme. Selon ses termes, ce n’est qu’après les avoir menacés de divulguer leur refus de l’informer, qu’elle a pu s’entretenir avec la directrice adjointe de l’AFFSAPS afin d’évoquer le devenir d’une étude sur les adjuvants aluminiques que l’Agence s’était engagée à réaliser. Volonté de faire taire la rumeur ou dossier confidentiel ?
Par ailleurs, l’AFSSAPS reproche à Virginie Belle de se fourvoyer en n’évoquant que les dangers de l’aluminium sans même aborder la notion de risque. En effet, pour l’AFSSAPS, seul importe le risque puisqu’il quantifie l’exposition à une substance – ici l’aluminium. Par conséquent, la connaissance du risque permet de juger de l’innocuité d’une substance.
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